La gestion de la pénurie de ressources (qu’elles soient budgétaires ou naturelles) s’annonce comme un enjeu structurant de la mandature à venir. C’est en tout cas l’hypothèse que nous posions dans notre lettre aux 500 000 (futurs) élus municipaux. Pour éviter d’avoir uniquement à la (faire) subir, cela nécessite de la mettre en débat. Reste à savoir comment…
Pour cela, nous avons organisé un temps d’échange en visio avec une quarantaine d’élus sortants, de candidats et d’agents publics. L’occasion de croiser les regards autour de deux questions :
> Pendant la campagne : comment (et sur quoi) assumer de faire moins avec moins ?
> Pendant le mandat : quelle alternative au coup de rabot indifférencié (et inégalitaire) ?
En voici la synthèse :