Ces derniers mois les contestations contre les Zones à faibles émissions (ZFE) ont pris de l’ampleur. Les métropoles, chargées d’interdire graduellement la circulation des véhicules les plus polluants pour améliorer la qualité de l’air, font face à une montée en puissance des sentiments d’injustice. Certaines décident déjà de ralentir le calendrier d’application ou d’en restreindre le périmètre. L’ampleur de la contestation peut surprendre car la mesure n’est pas nouvelle. Depuis 2015, elle a été élaborée, concertée et adaptée à chaque métropole. Alors comment expliquer ce paradoxe ?
Pour retrouver ce papier publié au PUG dans la collection « virus de la recherche » à l’invitation de Magali Talandier, c’est ICI.
On y tire le fil de l’analogie entre les politiques de transition et consentement à l’impôt pour poser les trois conditions pour organiser l’acceptabilité de la contrainte écologique.